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Deadlands - Season 2 - Chinese nights 4.5: To rock or not to rock

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Deadlands - Season 2 - Chinese nights 4.5: To rock or not to rock Empty Deadlands - Season 2 - Chinese nights 4.5: To rock or not to rock

Message  Gaetan Ven 25 Mar - 11:39

Nos trois braves héros se remettent de leurs émotions après ce court mais dur combat contre les deux autres bouchers. Ils examinent un peu plus la chambre froide : les troncs et les membres suspendus aux crochets à viande montrent tous des signes de malnutrition et des coups. Les têtes sont elles accrochées au mur, non pas comme trophées, mais simplement accrochées sur des rangées de crochets. Après avoir rapidement bu des élixirs de soins, ils écoutent à l’autre porte au bout de la chambre froide. C’est une porte suffisamment épaisse, pour isoler la chambre froide, qui par chance, a dû atténuer le bruit des coups de feu. Par un excès de prudence, qui en fait paye, ils écoutent assez longuement à la porte, et finissent par entendre des voix de l’autre coté. Vu l’agencement des pièces, ils pensent que ce doit être la cuisine. Pour éviter que les collègues des boucher ne découvrent les corps, ils décident de déshabiller les cadavres et de les cacher parmi les autres corps, puis ils rebroussent chemin et retournent dans le couloir.

Ils checkent rapidement vers où mène le couloir, et après deux petits tournants, c’est un cul de sac avec des portes supplémentaires. Décidant d’éviter une exploration totale de la prison, nos trois compagnons rebroussent chemin vers la premier croissement à la recherche d’escaliers. Ils prennent la branche non encore explorée, et trouvent des escaliers. Une rampe qui descend, une rampe qui monte. Ils montent…

L’escalier débouche sur ce qui semble être une espèce d’immense salle de triage, avec plusieurs portes. Il y a aussi un garde, qui visiblement a entendu arriver du monde par l’escalier, mais est surpris de voir des civils. Il se rue vers un interrupteur sur un des piliers de la salle. Les trois compagnons passent à l’action ! Des couteaux et des Soul Blasts volent vers le garde. Abdul le charge et arrive au contact. Le garde porte une armure au torse et aux jambes, qui réduisent l’impact des coups de sabre d’Abdul. Heureusement, ils arrivent à s’en débarrasser avant qu’il ne sonne ce qui semble être un système d’alarme.

Espérant ne pas avoir fait trop de bruit, Ned monte la garde pendant qu’Eliot examine le système d’alarme, et qu’Abdul détrousse le cadavre du garde de ses vêtements renforcés, ainsi que d’une clé. Malheureusement, une porte s’ouvre, et révèle un autre garde ! Celui-ci prend ses jambes à son cou, et court dans la direction opposée. Ned se lance le premier à sa poursuite, il passe la porte qui donne sur une autre grande salle dont les murs sont couverts de mosaïques. Ne prenant pas le temps de faire du tourisme, il commence à Soul Blaster le garde qui court vers un bouton pour sonner l’alarme. Il le ralentit un peu, mais comme pour le garde précédant, ses attaques ne semblent pas être très efficaces, les manitous ne semblant pas coopérer des masses. Heureusement, Abdul arrive à grand pas, et réussit à faire tomber le garde en pleine course. Il commence à essayer de porter des coups de sabre au pauvre homme à terre. Ne prenant pas le temps de se relever, le garde lui tire dessus avec son scatter gun, à bout portant ! Drame ! Abdul évite la décharge mortelle, mais la détonation risque d’attirer du monde… Ned balance un autre Soul Blast avant que le garde ne tire une deuxième fois, mais le manitou corrompt son attaque et il cible le pauvre Abdul qui encaisse tant bien que mal la puissante attaque ! Abdul ne se laisse pas déstabiliser et frappe l’homme toujours au sol sans relâche. Eliot le rejoignant pour s’acharner sur le pauvre garde, dont ils viendront à bout.

Confiants en leur bonne étoile, nos héros prennent le temps de débarrasser le garde de ses vêtements renforcés. Ensuite Eliot examine enfin le système d’alarme pour voir comment le saboter, mais hélas il n’a accès qu’aux interrupteurs, qu’il peut couper, mais pas au système central. L’examen des mosaïques révèle des scènes bibliques. Un examen plus minutieux indique que les mosaïques sont constituées de milliers de petits morceaux d’os taillés. Où s’arrêtera donc l’horreur de ce bagne digne des enfers ?

Toutes les deux salles abritent plusieurs portes. La curiosité d’Abdul le pousse à en essayer deux ou trois, qui donnent sur des petits débarras, des réserves, cuisines, sas-vestibules qui semblent logiquement mener vers les cellules. Ned lui dit d’arrêter d’ouvrir les portes au hasard, et de finalement emprunter un escalier qu’ils viennent de trouver et qui monte à l’étage. Par chance, leur bonne étoile était au rendez-vous, et aucun autre garde n’arrive pendant leur petit tour des lieux.

L’escalier arrive dans une espèce de grande cantine, salle de repos, trop luxueuse que pour être réservée à des prisonniers. Ici aussi il y a plusieurs portes, et un couloir. Ainsi que des fenêtres, semblables à de petites meurtrières et équipées de barreaux en acier. Ils entendent des ronflements provenant du couloir, et de derrière une porte à l’autre bout de la salle. Ned et Abdul examinent rapidement des portes d’où ne provient aucun ronflement. Elles donnent sur des réserves et des placards. Sauf une, qui est fermée à clé. Les fenêtres donnent sur une grande terrasse, qui semble surplomber le mur de la prison. Ils peuvent y voir des howitzers, et aussi ce qui semble être des gatlings recouvertes de bâches pour les protéger des intempéries. Il y a aussi des gardes qui patrouillent et qui manœuvrent des projecteurs pour ratisser la baie. N’ayant pas envie de tomber nez à nez avec des gardes, notre petit commando décide donc de ne pas ouvrir les portes qui semblent donner sur l’extérieur.

Un coin de la cantine donne sur un escalier qui monte à l’étage supérieur. Comme c’est par la que sont supposés être les quartiers du directeur, selon Ewing, le trio s’y engouffre… sur la pointe des pieds ! Ils arrivent à un palier, avec une porte, et une échelle murale qui donne sur une trappe au plafond. En tendant l’oreille (et pas la joue gauche, ca c’est pour plus tard), ils entendent des voix à travers la trappe, qui parlent de la relève prochaine, dans peu de temps.

Le temps presse ! Les cowboys (enfin, le presque cowboy, le pied tendre et l’étranger) ouvrent la porte en douceur. Elle donne sur un bureau. Ils cherchent rapidement, mais ne trouvent pas de clé (la clé du sous sol, l’objet de leur visite). Il y a une autre porte. Ils l’ouvrent aussi, tout doucement. C’est une salle de séjour, un petit salon en « L ». Il y a une autre porte, et aussi un bureau, dont le tiroir est fermé à clé. Ned hésite à défoncer la serrure du tiroir. Ça risque de faire du bruit. De plus, Abdul entend des ronflements derrière la porte. Ils se concertent tous trois, en chuchotant. Les ronflements s’arrêtent…

Abdul se tient debout à cote de la porte, sabre à la main, pour trancher et larder quiconque passera par là ! La porte s’ouvre, et un homme en robe de chambre enfilée par-dessus son pantalon se tient dans l’encadrement, scatter gun en main. Il tire sur Abdul avant que celui-ci n’ai le temps de lui porter un coup ! Le bras d’Abdul est arraché ! Le pauvre homme qui a consacré sa vie à la religion est debout, le regard pantois, la main sur son épaule d’où jaillit le sang. À travers la douleur, il se souvient de ses préceptes de paix, et des enseignements qu’il a reçus : « Qui tue par l’épée, périra par l’épée ! ». Durant quelques secondes qui semblent tel un mauvais rêve, il réalise que c’était faux… « Qui tue par l’épée, périra par le scatter gun ! ». Et il s’effondre…

Ned et Eliot ouvrent le feu : Soul Blast et Colt. Encore une fois, la chance ne semble pas être de leur coté. C’est comme si ce lieu impie privilégiait leurs adversaires ! Les détonations éclatent, les plombs fusent vers le directeur de la prison, et… le ratent… En réponse, il sort un petit os de sa poche et le jette au sol. Ce sera son dernier geste avant de prendre une attaque qui lui sera fatale. Un geste qui aura scellé le destin de nos deux héros ! En quelques secondes, l’os se transforme, grandit, et reconstitue un corps ensanglanté, écorché, dont la peau semble avoir été arrachée, et les muscles partiellement dévorés. Avec une vitesse surprenante, le monstre se rue sur Eliot, et lui arrache le visage d’un brutal coup de griffe ! La pauvre savant s’effondre, tué sur le coup. Ned n’a pas le temps de réagir avant que cette abomination ne se jette sur lui et lui plante ses griffes dans le ventre. La mort sera plus douloureuse, pas instantanée, mais tout aussi définitive…

Gaetan
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Message  lionel Ven 25 Mar - 14:48

RIP or not Smile
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