Les carrieres a DH
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Fabien- MJ
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Adepte
« C’est vraiment simple. Si nous plaçons le signifiant ici, dans cette position,
le reste du message codé se dévoile enfin à nous. »
— Érudit Gabel Troken, Librarium Centris sur Scintilla
L’Administratum est une imposante organisation monolithique.
Il s’agit sans doute de la plus puissante de toutes les
divisions qui composent l’Adeptus Terra. On dit de ce dernier
que c’est le rouage qui anime l’ensemble de l’Imperium, et que l’Administratum
est en quelque sorte le lubrifiant qui assure le bon fonctionnement
de la machine. Sans l’Administratum, les engrenages de
l’Adeptus Terra se gripperaient et l’Imperium s’effondrerait.
Des milliards d’hommes travaillent pour l’Administratum, la
plupart étant des Adeptes de différents grades et spécialités. Beaucoup
détiennent une place héréditaire, les titres étant transmis de génération
en génération. La taille de l’Administratum est telle que des
départements entiers disparaissent dans un véritable océan bureaucratique
pour ne réapparaître que des siècles plus tard. D’ailleurs, des
divisions entières ont été créées et continuent de fonctionner d’une
manière dogmatique, alors même que leur dessein originel est depuis
longtemps obsolète.
La plupart des Adeptes qui travaillent dans les gigantesques
complexes et salles d’archives oubliées ou auprès de vieux lecteurs
de parchemins sont des érudits selon les normes impériales. On
trouve parmi eux des bibliothécaires studieux, qui passent leur
vie entière dans les confins poussiéreux d’archives remplies
de manuscrits, mais aussi d’ambitieux érudits assoiffés de
connaissances et avides de gravir les nombreux échelons
de l’Administratum.
Les inquisiteurs et leurs agents ont bien souvent
besoin de tels universitaires, archivistes, conservateurs,
scribes, logiciens, traducteurs et autres spécialistes. Les
Adeptes côtoient les inquisiteurs de bien des manières :
certains servent déjà l’Inquisition et d’autres croisent
leur chemin lors de leurs enquêtes, mais la majorité
des Adeptes viennent de l’Administratum. Pour un
érudit âgé, habitué à une routine rigide et dogmatique,
entrer au service d’un inquisiteur est une
expérience intimidante. Certains hésitent, mais y voient
tout de même un devoir qu’il leur faut remplir. D’autres
l’acceptent mal, faisant bien comprendre qu’ils servent par
peur ou crainte de perdre leur statut plutôt que par idéalisme
ou dans le but de sauver l’Imperium. Mais tous ne réagissent
pas négativement ; certains Adeptes, souvent jeunes, y voient
là une opportunité, une chance qui leur est faite de quitter la
structure étouffante de l’Administratum, d’étancher leur soif de
curiosité et d’étudier des connaissances interdites.
Sur le terrain, les Adeptes se contentent généralement d’un
pistolet-mitrailleur, la puissance de feu n’étant pas de leur
ressort. Leur travail consiste à prodiguer des conseils tactiques, à
casser les codes, à confirmer l’existence de données SCS ou à briefer
leurs camarades au sujet des us et rituels locaux. Leur place n’est
pas en première ligne des combats, mais elle n’en est pas moins
essentielle. Là où d’autres acolytes devront prendre une crypte de
données solidement défendue au moyen de plomb et de puissance
psychique, quelqu’un doit télécharger et décrypter les infos depuis
le terminal au plus fort des combats.
Les Adeptes passent parfois pour des agneaux en comparaison
d’autres acolytes, mais ils ont pourtant accès à la plus puissante
des armes du 41e millénaire : la connaissance.
le reste du message codé se dévoile enfin à nous. »
— Érudit Gabel Troken, Librarium Centris sur Scintilla
L’Administratum est une imposante organisation monolithique.
Il s’agit sans doute de la plus puissante de toutes les
divisions qui composent l’Adeptus Terra. On dit de ce dernier
que c’est le rouage qui anime l’ensemble de l’Imperium, et que l’Administratum
est en quelque sorte le lubrifiant qui assure le bon fonctionnement
de la machine. Sans l’Administratum, les engrenages de
l’Adeptus Terra se gripperaient et l’Imperium s’effondrerait.
Des milliards d’hommes travaillent pour l’Administratum, la
plupart étant des Adeptes de différents grades et spécialités. Beaucoup
détiennent une place héréditaire, les titres étant transmis de génération
en génération. La taille de l’Administratum est telle que des
départements entiers disparaissent dans un véritable océan bureaucratique
pour ne réapparaître que des siècles plus tard. D’ailleurs, des
divisions entières ont été créées et continuent de fonctionner d’une
manière dogmatique, alors même que leur dessein originel est depuis
longtemps obsolète.
La plupart des Adeptes qui travaillent dans les gigantesques
complexes et salles d’archives oubliées ou auprès de vieux lecteurs
de parchemins sont des érudits selon les normes impériales. On
trouve parmi eux des bibliothécaires studieux, qui passent leur
vie entière dans les confins poussiéreux d’archives remplies
de manuscrits, mais aussi d’ambitieux érudits assoiffés de
connaissances et avides de gravir les nombreux échelons
de l’Administratum.
Les inquisiteurs et leurs agents ont bien souvent
besoin de tels universitaires, archivistes, conservateurs,
scribes, logiciens, traducteurs et autres spécialistes. Les
Adeptes côtoient les inquisiteurs de bien des manières :
certains servent déjà l’Inquisition et d’autres croisent
leur chemin lors de leurs enquêtes, mais la majorité
des Adeptes viennent de l’Administratum. Pour un
érudit âgé, habitué à une routine rigide et dogmatique,
entrer au service d’un inquisiteur est une
expérience intimidante. Certains hésitent, mais y voient
tout de même un devoir qu’il leur faut remplir. D’autres
l’acceptent mal, faisant bien comprendre qu’ils servent par
peur ou crainte de perdre leur statut plutôt que par idéalisme
ou dans le but de sauver l’Imperium. Mais tous ne réagissent
pas négativement ; certains Adeptes, souvent jeunes, y voient
là une opportunité, une chance qui leur est faite de quitter la
structure étouffante de l’Administratum, d’étancher leur soif de
curiosité et d’étudier des connaissances interdites.
Sur le terrain, les Adeptes se contentent généralement d’un
pistolet-mitrailleur, la puissance de feu n’étant pas de leur
ressort. Leur travail consiste à prodiguer des conseils tactiques, à
casser les codes, à confirmer l’existence de données SCS ou à briefer
leurs camarades au sujet des us et rituels locaux. Leur place n’est
pas en première ligne des combats, mais elle n’en est pas moins
essentielle. Là où d’autres acolytes devront prendre une crypte de
données solidement défendue au moyen de plomb et de puissance
psychique, quelqu’un doit télécharger et décrypter les infos depuis
le terminal au plus fort des combats.
Les Adeptes passent parfois pour des agneaux en comparaison
d’autres acolytes, mais ils ont pourtant accès à la plus puissante
des armes du 41e millénaire : la connaissance.
Fabien- MJ
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Localisation : Vietnam
Arbitrator
« Il exige, dites-vous ? Les exigences de la loi sont prioritaires, même
dans la ruche Tarsus. »
— Régulateur Hanz Rikennan,
4e circonscription de la ruche Tarsus
Dans les millions de mondes de l’Imperium, le crime est
monnaie courante ; pas les simples larcins d’individus cédant
à l’appât du gain, mais le crime organisé à une échelle sans
égale dans le passé de l’humanité. Des planètes et sous-secteurs entiers
sont sous le joug de cartels et d’organisations criminelles. On parle
même de gouverneurs planétaires rebelles qui ont quitté le giron de
l’Imperium et considèrent leur province comme leur propre fief, faisant
main basse sur les richesses et ressources naturelles de leur planète.
Dans ce genre de situation, c’est à l’Adeptus Arbites de défendre
les droits de l’Imperium et d’empêcher des sous-secteurs entiers de
prendre leur indépendance pendant plusieurs générations, quand
ce n’est pas pour l’éternité. L’Adeptus Arbites n’est pas une force
de police galactique ; elle ne s’intéresse guère aux crimes mineurs,
comme le vol, le meurtre ou la fraude fiscale, car ceux-ci sont sous la
responsabilité des forces de police locales. Non, l’Adeptus Arbites a
pour vocation de maintenir l’ordre sur une échelle bien plus vaste, de
dénicher la corruption où qu’elle se trouve, de faire tomber la dîme
impériale dans les caisses et de lutter contre la sorcellerie.
Les redoutables Arbitrators viennent justement de l’Adeptus Arbites.
Également surnommés les juges, ces hommes et ces femmes accomplissent
leur devoir avec stoïcisme et sont des fidèles inconditionnels
de l’Imperium. Du reste, les inquisiteurs se tournent souvent vers
l’Adeptus Arbites lorsqu’ils ont besoin d’acolytes de confiance, faisant
preuve d’initiative, sachant se battre et dont on ne peut remettre en
cause la foi. Les Arbitrators sont connus pour leur vigueur et leur
zèle, sans compter qu’ils sont capables de survivre à toutes sortes de
blessures quand il s’agit de mettre la main sur une proie.
Les Arbitrators sont déterminés et intrépides. Ils exigent une obéissance
totale des citoyens avec lesquels ils entrent en contact. Lorsque
l’agitation et le crime menacent la stabilité d’un monde, ils sont les
premiers sur le terrain ; stoïques, prenant la tête des forces locales et
traquant les fauteurs de troubles pour rétablir l’ordre.
Les méthodes des juges sont variées et rappellent parfois celles des
inquisiteurs, mais les moyens diffèrent selon le mentor de chacun, la
Schola Progenium qu’ils ont fréquentée, etc. Toutefois, contrairement
aux inquisiteurs, qui ont des desseins secrets, tous les membres
de l’Adeptus Arbites ont les mêmes buts et responsabilités : faire
respecter la justice de l’Empereur.
Certains Arbitrators mènent leurs enquêtes ouvertement et ne
cachent pas l’identité de leur gibier, même s’il est de noble extraction
ou de haut rang. Cela suscite parfois une hostilité franche entre
le juge et son sujet, mais les forces hors-monde de l’Imperium se
rangent toujours du côté de la loi lorsqu’on leur demande un petit
coup de main. Ce n’est bien évidemment pas le seul mode d’investigation
; d’autres officiers de l’Adeptus Arbites ont une approche
beaucoup plus méthodique, interrogeant contacts et témoins avant
de se mettre en quête de preuves tangibles.
La relation qu’entretiennent l’Inquisition et l’Adeptus Arbites est
généralement des plus cordiales au sein de l’Adeptus Terra. En effet,
les Arbitrators ont le sentiment qu’en collaborant avec les inquisiteurs,
ils servent la justice. Toutefois, de tels arrangements ne sont
pas toujours possibles. Il arrive que des juges se retournent contre un
inquisiteur qu’ils appuyaient jusque-là quand ils ont le sentiment que
celui-ci enfreint les sacro-saintes lois impériales. Cela signifie que les
inquisiteurs des factions les plus radicales doivent se méfier quand ils
recrutent des membres de l’Adeptus Arbites.
dans la ruche Tarsus. »
— Régulateur Hanz Rikennan,
4e circonscription de la ruche Tarsus
Dans les millions de mondes de l’Imperium, le crime est
monnaie courante ; pas les simples larcins d’individus cédant
à l’appât du gain, mais le crime organisé à une échelle sans
égale dans le passé de l’humanité. Des planètes et sous-secteurs entiers
sont sous le joug de cartels et d’organisations criminelles. On parle
même de gouverneurs planétaires rebelles qui ont quitté le giron de
l’Imperium et considèrent leur province comme leur propre fief, faisant
main basse sur les richesses et ressources naturelles de leur planète.
Dans ce genre de situation, c’est à l’Adeptus Arbites de défendre
les droits de l’Imperium et d’empêcher des sous-secteurs entiers de
prendre leur indépendance pendant plusieurs générations, quand
ce n’est pas pour l’éternité. L’Adeptus Arbites n’est pas une force
de police galactique ; elle ne s’intéresse guère aux crimes mineurs,
comme le vol, le meurtre ou la fraude fiscale, car ceux-ci sont sous la
responsabilité des forces de police locales. Non, l’Adeptus Arbites a
pour vocation de maintenir l’ordre sur une échelle bien plus vaste, de
dénicher la corruption où qu’elle se trouve, de faire tomber la dîme
impériale dans les caisses et de lutter contre la sorcellerie.
Les redoutables Arbitrators viennent justement de l’Adeptus Arbites.
Également surnommés les juges, ces hommes et ces femmes accomplissent
leur devoir avec stoïcisme et sont des fidèles inconditionnels
de l’Imperium. Du reste, les inquisiteurs se tournent souvent vers
l’Adeptus Arbites lorsqu’ils ont besoin d’acolytes de confiance, faisant
preuve d’initiative, sachant se battre et dont on ne peut remettre en
cause la foi. Les Arbitrators sont connus pour leur vigueur et leur
zèle, sans compter qu’ils sont capables de survivre à toutes sortes de
blessures quand il s’agit de mettre la main sur une proie.
Les Arbitrators sont déterminés et intrépides. Ils exigent une obéissance
totale des citoyens avec lesquels ils entrent en contact. Lorsque
l’agitation et le crime menacent la stabilité d’un monde, ils sont les
premiers sur le terrain ; stoïques, prenant la tête des forces locales et
traquant les fauteurs de troubles pour rétablir l’ordre.
Les méthodes des juges sont variées et rappellent parfois celles des
inquisiteurs, mais les moyens diffèrent selon le mentor de chacun, la
Schola Progenium qu’ils ont fréquentée, etc. Toutefois, contrairement
aux inquisiteurs, qui ont des desseins secrets, tous les membres
de l’Adeptus Arbites ont les mêmes buts et responsabilités : faire
respecter la justice de l’Empereur.
Certains Arbitrators mènent leurs enquêtes ouvertement et ne
cachent pas l’identité de leur gibier, même s’il est de noble extraction
ou de haut rang. Cela suscite parfois une hostilité franche entre
le juge et son sujet, mais les forces hors-monde de l’Imperium se
rangent toujours du côté de la loi lorsqu’on leur demande un petit
coup de main. Ce n’est bien évidemment pas le seul mode d’investigation
; d’autres officiers de l’Adeptus Arbites ont une approche
beaucoup plus méthodique, interrogeant contacts et témoins avant
de se mettre en quête de preuves tangibles.
La relation qu’entretiennent l’Inquisition et l’Adeptus Arbites est
généralement des plus cordiales au sein de l’Adeptus Terra. En effet,
les Arbitrators ont le sentiment qu’en collaborant avec les inquisiteurs,
ils servent la justice. Toutefois, de tels arrangements ne sont
pas toujours possibles. Il arrive que des juges se retournent contre un
inquisiteur qu’ils appuyaient jusque-là quand ils ont le sentiment que
celui-ci enfreint les sacro-saintes lois impériales. Cela signifie que les
inquisiteurs des factions les plus radicales doivent se méfier quand ils
recrutent des membres de l’Adeptus Arbites.
Fabien- MJ
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Date d'inscription : 29/08/2009
Age : 51
Localisation : Vietnam
Assassin
« Quand je tue, je mets la touche finale à un nouveau chef-d’oeuvre ;
mon art est bien plus ancien que la peinture et la sculpture.
— Lyra Trix, assassin d’une noble maison malfienne
Au sein de l’Imperium, l’assassinat est un outil précieux et
beaucoup y recourent, des agences des Adepta aux barons
du crime des sous-ruches ; c’est pour cela qu’on a toujours
besoin de tueurs professionnels. Cette catégorie regroupe donc tout
un éventail d’individus, d’autodidactes indépendants aux membres
de guildes et d’ordres d’assassins.
Les Assassins se manifestent sous toutes les formes et tous les
déguisements, le but du jeu étant bien souvent de se faire passer pour
une personne inoffensive auprès de leur cible. On trouve parmi eux
des brutes épaisses, qui se feront un plaisir de briser chacun des os de
leur victime, mais également monsieur tout le monde, passé maître
dans l’art de préparer potions et poisons, capable de verser l’une de
ses mixtures dans le plat de sa cible.
Il existe de nombreux ordres, guildes et cultes de la mort au sein
de l’Imperium. S’ils font régulièrement pénitence au nom de l’Empereur,
les ordres sont bien souvent des branches de quelques Adepta
et ont parfois même des intérêts commerciaux, si bien qu’ils font
payer leurs services. Les aspirants de ces organisations plus ou moins
légales ne le savent pas, mais la plupart de ces cultes ne sont que la
façade des temples d’Assassins qui constituent le très secret Officio
Assassinorum, où les maîtres recrutent et forment les éléments les
plus prometteurs.
Les Assassins de tels ordres sont des tueurs entraînés capables d’exploits
échappant totalement aux humains. Qu’ils soient membres des
cultes de la mort ou d’un ordre d’Assassins, ils connaissent le maniement
de bon nombre d’armes exotiques ainsi qu’une large panoplie
d’arts mortels, comme l’usage de poisons et la création d’objets piégés.
Les méthodes, le comportement et la personnalité d’un Assassin sont
aussi variés qu’il existe de manières de tuer, mais ces paramètres sont
très souvent influencés par leur enseignement et leur entraînement,
qu’ils soient issus d’un culte de la mort ou d’un ordre.
Si l’Assassin survit assez longtemps et que ses supérieurs l’en estiment
digne, il sera mis à l’épreuve à son insu. L’exercice est habituellement
mortel, si bien que les éléments inaptes ne survivent généralement
pas. Ceux qui s’en sortent, et ils sont rares, rejoignent les
rangs des initiés de l’un des temples d’Assassins, même s’ils n’en
sont alors pas conscients en raison du secret qui pèse sur l’Officio
Assassinorum.
mon art est bien plus ancien que la peinture et la sculpture.
— Lyra Trix, assassin d’une noble maison malfienne
Au sein de l’Imperium, l’assassinat est un outil précieux et
beaucoup y recourent, des agences des Adepta aux barons
du crime des sous-ruches ; c’est pour cela qu’on a toujours
besoin de tueurs professionnels. Cette catégorie regroupe donc tout
un éventail d’individus, d’autodidactes indépendants aux membres
de guildes et d’ordres d’assassins.
Les Assassins se manifestent sous toutes les formes et tous les
déguisements, le but du jeu étant bien souvent de se faire passer pour
une personne inoffensive auprès de leur cible. On trouve parmi eux
des brutes épaisses, qui se feront un plaisir de briser chacun des os de
leur victime, mais également monsieur tout le monde, passé maître
dans l’art de préparer potions et poisons, capable de verser l’une de
ses mixtures dans le plat de sa cible.
Il existe de nombreux ordres, guildes et cultes de la mort au sein
de l’Imperium. S’ils font régulièrement pénitence au nom de l’Empereur,
les ordres sont bien souvent des branches de quelques Adepta
et ont parfois même des intérêts commerciaux, si bien qu’ils font
payer leurs services. Les aspirants de ces organisations plus ou moins
légales ne le savent pas, mais la plupart de ces cultes ne sont que la
façade des temples d’Assassins qui constituent le très secret Officio
Assassinorum, où les maîtres recrutent et forment les éléments les
plus prometteurs.
Les Assassins de tels ordres sont des tueurs entraînés capables d’exploits
échappant totalement aux humains. Qu’ils soient membres des
cultes de la mort ou d’un ordre d’Assassins, ils connaissent le maniement
de bon nombre d’armes exotiques ainsi qu’une large panoplie
d’arts mortels, comme l’usage de poisons et la création d’objets piégés.
Les méthodes, le comportement et la personnalité d’un Assassin sont
aussi variés qu’il existe de manières de tuer, mais ces paramètres sont
très souvent influencés par leur enseignement et leur entraînement,
qu’ils soient issus d’un culte de la mort ou d’un ordre.
Si l’Assassin survit assez longtemps et que ses supérieurs l’en estiment
digne, il sera mis à l’épreuve à son insu. L’exercice est habituellement
mortel, si bien que les éléments inaptes ne survivent généralement
pas. Ceux qui s’en sortent, et ils sont rares, rejoignent les
rangs des initiés de l’un des temples d’Assassins, même s’ils n’en
sont alors pas conscients en raison du secret qui pèse sur l’Officio
Assassinorum.
Fabien- MJ
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Localisation : Vietnam
Ecclésiaste
« Par les saints et le Sigillite en personne ! Si vous ne bougez pas, je vous
enfonce ce marteau dans le crâne. »
— Prêcheur Silon Constantine originaire de Fenk
L’Adeptus Ministorum, ou Ecclésiarchie, tend aux besoins
religieux de l’Imperium. Il est indépendant de l’Adeptus
Terra, s’intéressant aux besoins spirituels de l’humanité
plutôt que d’assurer le développement de l’empire galactique. Quoi
qu’il en soit, l’Ecclésiarchie est une institution vaste et puissante
comprenant des millions d’hommes d’Église et des centaines de
milliers de diocèses dispersés dans l’immensité de l’espace impérial.
Dans le passé, elle a commis de nombreux abus et provoqué
de véritables guerres civiles, comme durant l’âge de l’Apostasie.
Cependant, le Ministorum perdure, guidant l’humanité dans son
culte dogmatique et superstitieux de l’Empereur.
Au premier plan de cette vaste Église apparaissent les Ecclésiastes,
prêcheurs, confesseurs et missionnaires. Contrairement aux
cardinaux et pontifex qui parcourent les couloirs poussiéreux des
grandes cathédrales de la Vieille Terra et d’Ophelia IV, les bases
spirituelles de l’Ecclésiarchie, les Ecclésiastes vivent et travaillent
parmi la population. C’est là qu’ils prêchent la bonne parole,
propagent la foi et gardent la race humaine, car le moindre laisseraller
ouvrirait la voie au Chaos.
Les Ecclésiastes sont des individus fougueux, qui n’hésitent pas à
s’exposer. Ce sont des hommes charismatiques et de grands orateurs,
capables de galvaniser les gens au moyen de leurs discours, de
susciter la loyauté, le respect et l’émerveillement à l’égard de l’Empereur
et de Ses serviteurs ordonnés. Bien souvent, l’Imperium se
tourne vers ce type d’hommes pour pousser la population à agir au
moment critique d’une invasion xenos ou encore pour éliminer un
culte du Chaos.
L’Ecclésiaste a de nombreuses compétences : c’est un orateur et
un sage, qui ne démérite pas au combat. Ce large éventail de talents
signifie également qu’il se spécialise rarement. Toutefois, il y a ceux
qui au sein du Ministorum suivent une voie bien après que d’autres
se sont tournés vers de nouvelles leçons. Cela engendre un clergé
varié allant du fanatique qui voit l’hérésie à chaque coin de rue et
invite les populations à brûler des innocents sur le bûcher, à l’érudit
plongé dans des connaissances anciennes, qui passe des années
entières dans de vieilles catacombes pour étudier des parchemins
antiques décrivant des cérémonies et rituels sans grand intérêt.
Malgré les multiples tentatives de nombreux Ecclésiastes, le Ministorum
s’est entouré d’un grand nombre d’idéaux et de groupes indépendants.
Bien que tous vénèrent l’Empereur, c’est dans la pratique
de leur foi que se retrouvent désaccords et incohérences. Au fil du
temps, cela a donné naissance à de nombreux ordres au sein de
l’Ecclésiarchie ; la majorité des Ecclésiastes appartient à l’un d’eux,
ce qui influence profondément leurs devoirs et leurs prêches auprès
des foules. Bien que cela n’ait jamais été reconnu publiquement,
certaines rumeurs prétendent que ces ordres se font parfois la guerre,
même si les bains de sang sont rares.
Les inquisiteurs trouvent que les Ecclésiastes font de bons acolytes
car leurs facultés d’interaction et d’influence à l’égard des populations
locales sont généralement précieuses. Du point de vue de
l’Ecclésiaste, les raisons de fuir ses devoirs au Ministorum et de
devenir un agent de l’Inquisition sont multiples. Certains y voient
là une forme de pénitence, mais d’autres sont fascinés par les
inquisiteurs, qu’ils considèrent comme les plus dignes serviteurs de
l’Empereur. Enfin, les fanatiques estiment qu’il s’agit du meilleur
moyen de combattre l’hérésie et y voient l’occasion de débarrasser la
galaxie des pires déviants.
enfonce ce marteau dans le crâne. »
— Prêcheur Silon Constantine originaire de Fenk
L’Adeptus Ministorum, ou Ecclésiarchie, tend aux besoins
religieux de l’Imperium. Il est indépendant de l’Adeptus
Terra, s’intéressant aux besoins spirituels de l’humanité
plutôt que d’assurer le développement de l’empire galactique. Quoi
qu’il en soit, l’Ecclésiarchie est une institution vaste et puissante
comprenant des millions d’hommes d’Église et des centaines de
milliers de diocèses dispersés dans l’immensité de l’espace impérial.
Dans le passé, elle a commis de nombreux abus et provoqué
de véritables guerres civiles, comme durant l’âge de l’Apostasie.
Cependant, le Ministorum perdure, guidant l’humanité dans son
culte dogmatique et superstitieux de l’Empereur.
Au premier plan de cette vaste Église apparaissent les Ecclésiastes,
prêcheurs, confesseurs et missionnaires. Contrairement aux
cardinaux et pontifex qui parcourent les couloirs poussiéreux des
grandes cathédrales de la Vieille Terra et d’Ophelia IV, les bases
spirituelles de l’Ecclésiarchie, les Ecclésiastes vivent et travaillent
parmi la population. C’est là qu’ils prêchent la bonne parole,
propagent la foi et gardent la race humaine, car le moindre laisseraller
ouvrirait la voie au Chaos.
Les Ecclésiastes sont des individus fougueux, qui n’hésitent pas à
s’exposer. Ce sont des hommes charismatiques et de grands orateurs,
capables de galvaniser les gens au moyen de leurs discours, de
susciter la loyauté, le respect et l’émerveillement à l’égard de l’Empereur
et de Ses serviteurs ordonnés. Bien souvent, l’Imperium se
tourne vers ce type d’hommes pour pousser la population à agir au
moment critique d’une invasion xenos ou encore pour éliminer un
culte du Chaos.
L’Ecclésiaste a de nombreuses compétences : c’est un orateur et
un sage, qui ne démérite pas au combat. Ce large éventail de talents
signifie également qu’il se spécialise rarement. Toutefois, il y a ceux
qui au sein du Ministorum suivent une voie bien après que d’autres
se sont tournés vers de nouvelles leçons. Cela engendre un clergé
varié allant du fanatique qui voit l’hérésie à chaque coin de rue et
invite les populations à brûler des innocents sur le bûcher, à l’érudit
plongé dans des connaissances anciennes, qui passe des années
entières dans de vieilles catacombes pour étudier des parchemins
antiques décrivant des cérémonies et rituels sans grand intérêt.
Malgré les multiples tentatives de nombreux Ecclésiastes, le Ministorum
s’est entouré d’un grand nombre d’idéaux et de groupes indépendants.
Bien que tous vénèrent l’Empereur, c’est dans la pratique
de leur foi que se retrouvent désaccords et incohérences. Au fil du
temps, cela a donné naissance à de nombreux ordres au sein de
l’Ecclésiarchie ; la majorité des Ecclésiastes appartient à l’un d’eux,
ce qui influence profondément leurs devoirs et leurs prêches auprès
des foules. Bien que cela n’ait jamais été reconnu publiquement,
certaines rumeurs prétendent que ces ordres se font parfois la guerre,
même si les bains de sang sont rares.
Les inquisiteurs trouvent que les Ecclésiastes font de bons acolytes
car leurs facultés d’interaction et d’influence à l’égard des populations
locales sont généralement précieuses. Du point de vue de
l’Ecclésiaste, les raisons de fuir ses devoirs au Ministorum et de
devenir un agent de l’Inquisition sont multiples. Certains y voient
là une forme de pénitence, mais d’autres sont fascinés par les
inquisiteurs, qu’ils considèrent comme les plus dignes serviteurs de
l’Empereur. Enfin, les fanatiques estiment qu’il s’agit du meilleur
moyen de combattre l’hérésie et y voient l’occasion de débarrasser la
galaxie des pires déviants.
Fabien- MJ
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Garde impérial
« On y va, on tue tout ce qui bouge et on fait sauter l’endroit à l’aide
d’une charge explosive. »
— Eli Plex, commando du 21e secundus
Quelle que soit la subtilité dont les acolytes font preuve
durant leurs enquêtes, tôt ou tard arrivera un moment où
palabres, discrétion et ingéniosité devront laisser place à
la force brute. Et c’est là qu’interviennent les Gardes. Ce sont des
individus coriaces et implacables, experts dans le maniement d’une
multitude d’armes : tout ce qui va du simple fusil laser au fusil de
tireur d’élite.
Surnommée le Marteau de l’Empereur, la Garde Impériale est la
plus importante force de combat de l’histoire de la galaxie. Elle est
constituée de milliards de soldats, tous recrutés sur les nombreux
mondes de l’Imperium. Le Departmento Munitorum est chargé de
superviser, d’approvisionner et de ravitailler les régiments de la
Garde Impériale, mais même cette organisation n’a pas la moindre
idée du nombre exact d’hommes qui la servent, car les pertes et
recrutements impliquent chaque jour des millions de soldats. Les
régiments de la Garde sont issus de nombreuses planètes et d’autant
de cultures différentes, ce qui multiplie les tenues vestimentaires,
connaissances technologiques et traditions martiales. La Garde n’impose
même pas d’uniforme standard, préférant de loin s’appuyer sur
les forces distinctes des compagnies, qu’elles soient constituées
de clans de guerriers tribaux ou d’unités cadiennes parfaitement
disciplinées. Ainsi, il n’existe pas d’entraînement type : chaque
régiment est chargé de former ses troupes, en fonction des
techniques de combat locales. En fait, le seul point commun
de tous les Gardes prend la forme d’un équipement standard,
parmi lequel figure le fusil laser.
C’est au sein de cette gigantesque armée que les inquisiteurs
recrutent les muscles dont ils ont souvent besoin
dans le cadre de leur travail. Mais comme chaque régiment
est différent des autres, le concept de Garde est
très variable : certains sont des commandos d’élite
professionnels ; d’autres sont des membres endurcis
de gangs originaires de mondes industriels obscurs,
qui avaient sans doute déjà entamé une carrière de
tueur avant d’incorporer la Garde ; et d’autres encore pourront
parfaitement prendre la forme de barbares sanguinaires armés de
haches s’ils sont issus d’un monde sauvage lointain.
Les inquisiteurs font principalement appel aux Gardes impériaux
pour leur expérience au combat et leur connaissance des armes,
mais leur choix est souvent influencé par les compétences secondaires
de l’acolyte, qui trouvent également une application sur le
terrain. Par exemple, les Gardes impériaux sont généralement
formés pour conduire et entretenir les véhicules, ont parfois des
connaissances médicales ou logistiques, sans compter qu’il leur
arrive de se montrer habiles en matière de communications.
Tous les Gardes impériaux ne viennent pas nécessairement de
la Garde Impériale, tout dépendant du rôle que compte leur faire
jouer leur inquisiteur. Ainsi, certains auront peut-être déjà croisé sa
route alors qu’ils travaillaient pour une autre organisation. Certains
sont de véritables mercenaires qui louent leurs services, et sont
à un moment ou un autre de leur carrière obligés de travailler
pour l’Inquisition. D’autres sont des truands des ruches qui
ont eu la mauvaise idée de tendre une embuscade à l’inquisiteur
durant l’un de ses rares déplacements dans la sous-ruche.
Quelle que soit son origine, le rôle du Garde impérial consiste
à se battre.
d’une charge explosive. »
— Eli Plex, commando du 21e secundus
Quelle que soit la subtilité dont les acolytes font preuve
durant leurs enquêtes, tôt ou tard arrivera un moment où
palabres, discrétion et ingéniosité devront laisser place à
la force brute. Et c’est là qu’interviennent les Gardes. Ce sont des
individus coriaces et implacables, experts dans le maniement d’une
multitude d’armes : tout ce qui va du simple fusil laser au fusil de
tireur d’élite.
Surnommée le Marteau de l’Empereur, la Garde Impériale est la
plus importante force de combat de l’histoire de la galaxie. Elle est
constituée de milliards de soldats, tous recrutés sur les nombreux
mondes de l’Imperium. Le Departmento Munitorum est chargé de
superviser, d’approvisionner et de ravitailler les régiments de la
Garde Impériale, mais même cette organisation n’a pas la moindre
idée du nombre exact d’hommes qui la servent, car les pertes et
recrutements impliquent chaque jour des millions de soldats. Les
régiments de la Garde sont issus de nombreuses planètes et d’autant
de cultures différentes, ce qui multiplie les tenues vestimentaires,
connaissances technologiques et traditions martiales. La Garde n’impose
même pas d’uniforme standard, préférant de loin s’appuyer sur
les forces distinctes des compagnies, qu’elles soient constituées
de clans de guerriers tribaux ou d’unités cadiennes parfaitement
disciplinées. Ainsi, il n’existe pas d’entraînement type : chaque
régiment est chargé de former ses troupes, en fonction des
techniques de combat locales. En fait, le seul point commun
de tous les Gardes prend la forme d’un équipement standard,
parmi lequel figure le fusil laser.
C’est au sein de cette gigantesque armée que les inquisiteurs
recrutent les muscles dont ils ont souvent besoin
dans le cadre de leur travail. Mais comme chaque régiment
est différent des autres, le concept de Garde est
très variable : certains sont des commandos d’élite
professionnels ; d’autres sont des membres endurcis
de gangs originaires de mondes industriels obscurs,
qui avaient sans doute déjà entamé une carrière de
tueur avant d’incorporer la Garde ; et d’autres encore pourront
parfaitement prendre la forme de barbares sanguinaires armés de
haches s’ils sont issus d’un monde sauvage lointain.
Les inquisiteurs font principalement appel aux Gardes impériaux
pour leur expérience au combat et leur connaissance des armes,
mais leur choix est souvent influencé par les compétences secondaires
de l’acolyte, qui trouvent également une application sur le
terrain. Par exemple, les Gardes impériaux sont généralement
formés pour conduire et entretenir les véhicules, ont parfois des
connaissances médicales ou logistiques, sans compter qu’il leur
arrive de se montrer habiles en matière de communications.
Tous les Gardes impériaux ne viennent pas nécessairement de
la Garde Impériale, tout dépendant du rôle que compte leur faire
jouer leur inquisiteur. Ainsi, certains auront peut-être déjà croisé sa
route alors qu’ils travaillaient pour une autre organisation. Certains
sont de véritables mercenaires qui louent leurs services, et sont
à un moment ou un autre de leur carrière obligés de travailler
pour l’Inquisition. D’autres sont des truands des ruches qui
ont eu la mauvaise idée de tendre une embuscade à l’inquisiteur
durant l’un de ses rares déplacements dans la sous-ruche.
Quelle que soit son origine, le rôle du Garde impérial consiste
à se battre.
Fabien- MJ
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Date d'inscription : 29/08/2009
Age : 51
Localisation : Vietnam
Psyker impérial
« Imaginez qu’il existe une porte ouvrant sur le royaume des démons, et
que la plus petite inattention de votre part leur permettra de la démolir
avant de vous réduire en pièces. Maintenant, imaginez que cette porte est
dans votre tête. Voilà ce qu’est la vie de psyker. »
— Castus Lupa, savant adjoint
Nul ne sait quand apparut le premier Psyker humain ; cette
information s’est perdue dans les limbes du temps, mais une
chose est sûre, leur apparition a changé à jamais le destin de
l’humanité. Les Psykers constituent la plus grande bénédiction et la
pire malédiction de l’humanité. L’Empereur en personne est le plus
puissant Psyker humain de tous les temps. Dix mille ans après qu’il a
été déposé dans Son sarcophage, les Psykers continuent d’alimenter
l’Imperium. Chaque jour, de nombreuses âmes prennent le chemin
de Terra à bord des Vaisseaux Noirs de l’Inquisition. Une fois là-bas,
ils ont l’honneur de ne faire qu’un avec le Trône d’Or de l’Empereur,
permettant ainsi à Sa lumière de se propager dans toute la galaxie
afin que l’Imperium perdure.
Malgré les avantages qu’il apporte à l’Imperium, un Psyker indépendant
peut mettre des populations et même des planètes entières
en danger. L’essence d’un Psyker brille légèrement dans le Warp,
comme un appât au bout d’une ligne, et attire
des entités malignes. Les faibles d’esprit
et ceux qui n’y entendent rien en matière de protection peuvent
alors être facilement souillés, voire possédés par des entités
démoniaques et faire office de portes entre l’espace réel et le Warp.
Tous les Psykers qui sont repérés et rassemblés sur les sinistres Vaisseaux
Noirs de l’Inquisition subissent un sort ou un autre. En règle générale, après un
examen mental méticuleux, ceux qui n’ont pas le talent ou la force d’esprit nécessaires
sont envoyés vénérer le Trône d’Or. La minorité qui passe avec succès les tests rigoureux d’assermentation a un sursis et sert l’Imperium d’une autre
façon. Certains servent l’Adeptus Astra Telepathica au
titre d’astropathes alors que d’autres, après un examen
minutieux, remplissent divers rôles au sein de l’Imperium.
Il peut s’agir de serviteurs mis en apprentissage
auprès de seigneurs de l’Administratum, de Psykers de
bataille utilisés pour contrer les xenos les plus mystiques
ou d’individus envoyés auprès d’inquisiteurs. Qu’il en soit
conscient ou non, le Psyker est toujours surveillé de près,
car quel que soit son talent, son âme brille vivement dans
le Warp.
Les Psykers ont toujours servi d’agents de l’Inquisition.
Leurs pouvoirs vont de la divination à la télépathie
en passant par la pyromancie et la télékinésie.
Un acolyte Psyker en sera encore à la découverte de
ses pouvoirs ; au fil de sa progression, il déverrouillera
des pouvoirs latents et des facultés redoutables. L’inquisiteur
et ses camarades acolytes sont le guide et le
bourreau probable, car plus le pouvoir grandit en lui,
plus sont intenses l’attrait du Chaos et l’attention que
lui portent les démons du Warp.
que la plus petite inattention de votre part leur permettra de la démolir
avant de vous réduire en pièces. Maintenant, imaginez que cette porte est
dans votre tête. Voilà ce qu’est la vie de psyker. »
— Castus Lupa, savant adjoint
Nul ne sait quand apparut le premier Psyker humain ; cette
information s’est perdue dans les limbes du temps, mais une
chose est sûre, leur apparition a changé à jamais le destin de
l’humanité. Les Psykers constituent la plus grande bénédiction et la
pire malédiction de l’humanité. L’Empereur en personne est le plus
puissant Psyker humain de tous les temps. Dix mille ans après qu’il a
été déposé dans Son sarcophage, les Psykers continuent d’alimenter
l’Imperium. Chaque jour, de nombreuses âmes prennent le chemin
de Terra à bord des Vaisseaux Noirs de l’Inquisition. Une fois là-bas,
ils ont l’honneur de ne faire qu’un avec le Trône d’Or de l’Empereur,
permettant ainsi à Sa lumière de se propager dans toute la galaxie
afin que l’Imperium perdure.
Malgré les avantages qu’il apporte à l’Imperium, un Psyker indépendant
peut mettre des populations et même des planètes entières
en danger. L’essence d’un Psyker brille légèrement dans le Warp,
comme un appât au bout d’une ligne, et attire
des entités malignes. Les faibles d’esprit
et ceux qui n’y entendent rien en matière de protection peuvent
alors être facilement souillés, voire possédés par des entités
démoniaques et faire office de portes entre l’espace réel et le Warp.
Tous les Psykers qui sont repérés et rassemblés sur les sinistres Vaisseaux
Noirs de l’Inquisition subissent un sort ou un autre. En règle générale, après un
examen mental méticuleux, ceux qui n’ont pas le talent ou la force d’esprit nécessaires
sont envoyés vénérer le Trône d’Or. La minorité qui passe avec succès les tests rigoureux d’assermentation a un sursis et sert l’Imperium d’une autre
façon. Certains servent l’Adeptus Astra Telepathica au
titre d’astropathes alors que d’autres, après un examen
minutieux, remplissent divers rôles au sein de l’Imperium.
Il peut s’agir de serviteurs mis en apprentissage
auprès de seigneurs de l’Administratum, de Psykers de
bataille utilisés pour contrer les xenos les plus mystiques
ou d’individus envoyés auprès d’inquisiteurs. Qu’il en soit
conscient ou non, le Psyker est toujours surveillé de près,
car quel que soit son talent, son âme brille vivement dans
le Warp.
Les Psykers ont toujours servi d’agents de l’Inquisition.
Leurs pouvoirs vont de la divination à la télépathie
en passant par la pyromancie et la télékinésie.
Un acolyte Psyker en sera encore à la découverte de
ses pouvoirs ; au fil de sa progression, il déverrouillera
des pouvoirs latents et des facultés redoutables. L’inquisiteur
et ses camarades acolytes sont le guide et le
bourreau probable, car plus le pouvoir grandit en lui,
plus sont intenses l’attrait du Chaos et l’attention que
lui portent les démons du Warp.
Fabien- MJ
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Date d'inscription : 29/08/2009
Age : 51
Localisation : Vietnam
Racaille
« Tu vois, t’as encore gagné. Je t’avais pourtant dit que je ne savais pas
jouer aux cartes. Allez ! Une dernière partie, mais seulement parce que
tu insistes. »
— Reetheus Orl, prophète originaire de la ruche de Sibellus
Comme cela a toujours été le cas, les laissés-pour-compte
semblent s’attirer les uns les autres et s’épanouir dans les pires
endroits. L’Imperium est immense et très dur, si bien que les
indésirables et les démunis survivent dans les lieux les plus inhospitaliers.
Les sous-ruches, blocs d’habitation, et parfois même des lunes
entières dépouillées de leurs ressources abritent ce que les forces de
l’ordre surnomment la racaille. Il s’agit des déchets de l’humanité,
qui n’ont pas leur place au sein de la société impériale. Du reste, l’Ecclésiarchie
elle aussi semble s’être détournée d’eux, même si quelques
missionnaires tentent de sauver leurs âmes, parfois sans qu’on leur ait
demandé quoi que ce soit !
Racaille est un terme fourre-tout qui regroupe voleurs, déserteurs,
criminels en cavale, escrocs, nobles déchus, voyous et hors-la-loi,
ainsi que toutes sortes de délinquants et d’individus peu recommandables.
Malgré le sobriquet qu’on leur donne, beaucoup disposent de
compétences utiles aux yeux de l’Inquisition. Ainsi, lorsqu’un inquisiteur
a besoin des services d’un personnage peu scrupuleux, capable
d’abattre des innocents quand on le lui ordonne ou de tirer dans le
dos d’une cible sans la moindre hésitation, il se tourne vers l’acolyte
qui a passé des années entières en marge de la société impériale.
En plus de leur ambiguïté morale, les Racailles disposent bien
souvent de compétences utiles dans le cadre des enquêtes. Entrer
dans une propriété par effraction, trouver certains objets au
marché noir, user de bagou ou d’intimidation,
voici assurément des talents susceptibles
de faciliter la vie des acolytes.
Toutefois, l’inquisiteur avisé n’intègre
pas le premier félon venu parmi ses agents,
car l’acolyte doit être digne de confiance et
ses talents doivent être à la hauteur des tâches
qui l’attendent. Ce n’est donc pas qu’un simple
voyou ramassé dans la rue. Ce type d’agent est
un monte-en-l’air capable des meilleures acrobaties,
un baratineur devenu roi de l’escroquerie, un
requin du jeu qui ne perd jamais ou un receleur
ayant des contacts dans un sous-secteur entier.
Pour avoir vécu et survécu dans de telles conditions, il est bien
évident que la Racaille sera souvent source d’acrimonie et ne s’entendra
pas forcément très bien avec le reste de la cellule. De plus, ses
valeurs morales et les raisons pour lesquelles l’intéressé est présent
sont sans doute différentes de celles des autres, ce qui peut déclencher
des disputes. Les raisons qui peuvent pousser un tel individu à
travailler pour un inquisiteur sont multiples : certains le font pour
le simple frisson que cela leur procure, certains pour se racheter de
crimes passés ou parce qu’on les paye, mais d’autres ont tout simplement
les compétences nécessaires à l’inquisiteur, si bien qu’on les
invite « chaleureusement » à répondre présent, quitte à les menacer
si nécessaire. Aux yeux de l’inquisiteur, peu importent leurs
motivations, le principal étant qu’ils jouent le rôle qui leur
est confié dans la mission. Les inquisiteurs utilisent tous
les outils mis à leur disposition pour accomplir leur
devoir. Ils se moquent bien de savoir s’ils emploient
un noble de haut rang ou le plus inhumain des
scélérats ; c’est le succès qui compte, pas la façon
de l’obtenir.
jouer aux cartes. Allez ! Une dernière partie, mais seulement parce que
tu insistes. »
— Reetheus Orl, prophète originaire de la ruche de Sibellus
Comme cela a toujours été le cas, les laissés-pour-compte
semblent s’attirer les uns les autres et s’épanouir dans les pires
endroits. L’Imperium est immense et très dur, si bien que les
indésirables et les démunis survivent dans les lieux les plus inhospitaliers.
Les sous-ruches, blocs d’habitation, et parfois même des lunes
entières dépouillées de leurs ressources abritent ce que les forces de
l’ordre surnomment la racaille. Il s’agit des déchets de l’humanité,
qui n’ont pas leur place au sein de la société impériale. Du reste, l’Ecclésiarchie
elle aussi semble s’être détournée d’eux, même si quelques
missionnaires tentent de sauver leurs âmes, parfois sans qu’on leur ait
demandé quoi que ce soit !
Racaille est un terme fourre-tout qui regroupe voleurs, déserteurs,
criminels en cavale, escrocs, nobles déchus, voyous et hors-la-loi,
ainsi que toutes sortes de délinquants et d’individus peu recommandables.
Malgré le sobriquet qu’on leur donne, beaucoup disposent de
compétences utiles aux yeux de l’Inquisition. Ainsi, lorsqu’un inquisiteur
a besoin des services d’un personnage peu scrupuleux, capable
d’abattre des innocents quand on le lui ordonne ou de tirer dans le
dos d’une cible sans la moindre hésitation, il se tourne vers l’acolyte
qui a passé des années entières en marge de la société impériale.
En plus de leur ambiguïté morale, les Racailles disposent bien
souvent de compétences utiles dans le cadre des enquêtes. Entrer
dans une propriété par effraction, trouver certains objets au
marché noir, user de bagou ou d’intimidation,
voici assurément des talents susceptibles
de faciliter la vie des acolytes.
Toutefois, l’inquisiteur avisé n’intègre
pas le premier félon venu parmi ses agents,
car l’acolyte doit être digne de confiance et
ses talents doivent être à la hauteur des tâches
qui l’attendent. Ce n’est donc pas qu’un simple
voyou ramassé dans la rue. Ce type d’agent est
un monte-en-l’air capable des meilleures acrobaties,
un baratineur devenu roi de l’escroquerie, un
requin du jeu qui ne perd jamais ou un receleur
ayant des contacts dans un sous-secteur entier.
Pour avoir vécu et survécu dans de telles conditions, il est bien
évident que la Racaille sera souvent source d’acrimonie et ne s’entendra
pas forcément très bien avec le reste de la cellule. De plus, ses
valeurs morales et les raisons pour lesquelles l’intéressé est présent
sont sans doute différentes de celles des autres, ce qui peut déclencher
des disputes. Les raisons qui peuvent pousser un tel individu à
travailler pour un inquisiteur sont multiples : certains le font pour
le simple frisson que cela leur procure, certains pour se racheter de
crimes passés ou parce qu’on les paye, mais d’autres ont tout simplement
les compétences nécessaires à l’inquisiteur, si bien qu’on les
invite « chaleureusement » à répondre présent, quitte à les menacer
si nécessaire. Aux yeux de l’inquisiteur, peu importent leurs
motivations, le principal étant qu’ils jouent le rôle qui leur
est confié dans la mission. Les inquisiteurs utilisent tous
les outils mis à leur disposition pour accomplir leur
devoir. Ils se moquent bien de savoir s’ils emploient
un noble de haut rang ou le plus inhumain des
scélérats ; c’est le succès qui compte, pas la façon
de l’obtenir.
Fabien- MJ
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Age : 51
Localisation : Vietnam
Technoprêtre
« Notre alliance doit prendre fin car vos objectifs ne sont plus compatibles
avec les miens. »
— Quintass Delta III, mécamancien originaire des Lathès
Le culte Mechanicus détient un véritable monopole en matière
de technologie. Ses préceptes et croyances influencent ainsi
par le biais des rituels les superstitions des citoyens impériaux.
L’Adeptus Mechanicus est dirigé par les Technoprêtres de Mars, un
clergé coupé du monde qui vénère le Dieu-Machine et dont le but est
de réunir la technologie perdue depuis l’ère des Luttes. Le bas de la
hiérarchie des Technoprêtres a principalement des devoirs de maintenance
et de construction, mais en progressant et en accumulant
de nouvelles connaissances, le techno-adepte s’éloigne des tâches
les plus triviales et a le droit de se tourner vers l’étude de grands
mystères et de techniques disparues ayant empêché toute forme de
développement progressif à la base technologique de l’Imperium.
Tous les Technoprêtres ont une bonne compréhension des technologies
standard utilisées dans l’Imperium, mais il existe aussi de
nombreuses spécialités, comme le biologius, la xenologie et l’utilisation
d’armes redécouvertes pour n’en citer que quelques-unes.
Les Technoprêtres ne sont pas confinés à Mars ou aux nombreux
mondes-forges de la galaxie. Beaucoup ont toute latitude pour
rechercher des technologies oubliées ou enquêter au sujet de visions
présumées de SCS, et c’est durant ces missions qu’ils ont des
chances d’entrer en contact avec un inquisiteur ou une cellule.
La relation qui existe entre l’Inquisition et le clergé de Mars
est quelque peu orageuse puisqu’elle va de l’hostilité ouverte
au pire, à de simples tensions au mieux. Quoi qu’il en soit,
ces deux puissantes organisations travaillent souvent
ensemble lorsque c’est dans l’intérêt de chacune. C’est
dans ce genre de situations qu’un Technoprêtre peut
rejoindre une cellule car sa connaissance de la technologie
impériale, voire xenos, sera toujours utile.
En usant d’une connexion neurale, un Technoprêtre
pourra même communiquer avec l’esprit de la
machine de certaines technologies, inlodant et exlodant
des flots d’information en quelques secondes,
ce qui en fera un allié de poids. Toutefois, les
Technoprêtres sont très attachés à leur indépendance
et ne font pas confiance à ceux qui ne vénèrent pas le
Dieu-Machine, ce qui explique en partie leur nature
froide, méthodique et laconique. Ainsi, un tel acolyte
se sent rarement à l’aise au sein d’une équipe d’individus
n’entretenant aucun lien avec le Mechanicus.
L’apparence des Technoprêtres est parfois effrayante,
voire terrorisante, pour ceux qui n’ont jamais eu jusqu’alors
de contact avec eux. En effet, jusqu’à soixante pour cent du corps
d’un tel individu peut avoir été remplacé par des implants bioniques,
des membres supplémentaires (comme des mécadendrites) ou
des armes intégrées. Bien évidemment, cette proportion de pièces
mécaniques augmente avec l’âge, les Technoprêtres eux-mêmes
étant persuadés que ces modifications les rapprochent de leur Dieu-
Machine, l’Omnimessie, et les éloignent de la fragilité de la chair.
Du reste, il n’est pas rare que les doyens, les Magos, soient quasiment
des machines, leur dernière parcelle organique ayant perdu toute
trace d’humanité plusieurs siècles plus tôt. Un inquisiteur
se méfie toujours quand il s’allie avec un Magos, car ce
dernier poursuit certainement ses propres desseins, sans
doute éloignés de ceux des autres acolytes.
avec les miens. »
— Quintass Delta III, mécamancien originaire des Lathès
Le culte Mechanicus détient un véritable monopole en matière
de technologie. Ses préceptes et croyances influencent ainsi
par le biais des rituels les superstitions des citoyens impériaux.
L’Adeptus Mechanicus est dirigé par les Technoprêtres de Mars, un
clergé coupé du monde qui vénère le Dieu-Machine et dont le but est
de réunir la technologie perdue depuis l’ère des Luttes. Le bas de la
hiérarchie des Technoprêtres a principalement des devoirs de maintenance
et de construction, mais en progressant et en accumulant
de nouvelles connaissances, le techno-adepte s’éloigne des tâches
les plus triviales et a le droit de se tourner vers l’étude de grands
mystères et de techniques disparues ayant empêché toute forme de
développement progressif à la base technologique de l’Imperium.
Tous les Technoprêtres ont une bonne compréhension des technologies
standard utilisées dans l’Imperium, mais il existe aussi de
nombreuses spécialités, comme le biologius, la xenologie et l’utilisation
d’armes redécouvertes pour n’en citer que quelques-unes.
Les Technoprêtres ne sont pas confinés à Mars ou aux nombreux
mondes-forges de la galaxie. Beaucoup ont toute latitude pour
rechercher des technologies oubliées ou enquêter au sujet de visions
présumées de SCS, et c’est durant ces missions qu’ils ont des
chances d’entrer en contact avec un inquisiteur ou une cellule.
La relation qui existe entre l’Inquisition et le clergé de Mars
est quelque peu orageuse puisqu’elle va de l’hostilité ouverte
au pire, à de simples tensions au mieux. Quoi qu’il en soit,
ces deux puissantes organisations travaillent souvent
ensemble lorsque c’est dans l’intérêt de chacune. C’est
dans ce genre de situations qu’un Technoprêtre peut
rejoindre une cellule car sa connaissance de la technologie
impériale, voire xenos, sera toujours utile.
En usant d’une connexion neurale, un Technoprêtre
pourra même communiquer avec l’esprit de la
machine de certaines technologies, inlodant et exlodant
des flots d’information en quelques secondes,
ce qui en fera un allié de poids. Toutefois, les
Technoprêtres sont très attachés à leur indépendance
et ne font pas confiance à ceux qui ne vénèrent pas le
Dieu-Machine, ce qui explique en partie leur nature
froide, méthodique et laconique. Ainsi, un tel acolyte
se sent rarement à l’aise au sein d’une équipe d’individus
n’entretenant aucun lien avec le Mechanicus.
L’apparence des Technoprêtres est parfois effrayante,
voire terrorisante, pour ceux qui n’ont jamais eu jusqu’alors
de contact avec eux. En effet, jusqu’à soixante pour cent du corps
d’un tel individu peut avoir été remplacé par des implants bioniques,
des membres supplémentaires (comme des mécadendrites) ou
des armes intégrées. Bien évidemment, cette proportion de pièces
mécaniques augmente avec l’âge, les Technoprêtres eux-mêmes
étant persuadés que ces modifications les rapprochent de leur Dieu-
Machine, l’Omnimessie, et les éloignent de la fragilité de la chair.
Du reste, il n’est pas rare que les doyens, les Magos, soient quasiment
des machines, leur dernière parcelle organique ayant perdu toute
trace d’humanité plusieurs siècles plus tôt. Un inquisiteur
se méfie toujours quand il s’allie avec un Magos, car ce
dernier poursuit certainement ses propres desseins, sans
doute éloignés de ceux des autres acolytes.
Fabien- MJ
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