2ème partie : On the road again
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2ème partie : On the road again
Chevauchant depuis quelques heures déjà, nous apercevons un Piorad montant un Chagar galoper dans notre direction. Et une voix « salut les amis » venant d’une rapière ! Nous nous retrouvons enfin ! Sur la route, notre ami nous raconte son périple, et comment il a convainc son nouveau porteur, Ultan, de retourner à Mérune pour notre rendez-vous. Lui aussi est étonné que Mouleh soit parti sans nous. Trahison ? Vengeance personnelle ? Nous n’avons pas encore assez d’éléments.
Le soir arrive et Anuldaz commence à sentir la faim le tenailler. La nuit se passe sans trop de problème, bien qu’Anuldaz, entre ses crampes d’estomac – sûrement dues aux baies qu’il s’est aventuré à manger – et sa crainte d’être dévoré par le Chagar, ne dormît que d’un œil… Au matin, nous nous remettons en route. Ces humains parlent décidément trop, cela nous ralentis. Nous arrivons en début d’après-midi à un village, dans lequel Kana et moi allons à la chasse aux nouvelles de Mouleh pendant qu’Anuldaz se goinfre à l’auberge. Au moment de payer, pris d’un désir soudain, mon porteur menace l’aubergiste et lui demande la caisse. Mais celle-ci était quasi vide. Il nous faudra recommencer dans une plus grande ville. Nous nous remettons tous en route, Mouleh ayant toujours un jour d’avance. Le soir, nos porteurs montent un campement, et Anuldaz se fait un feu qu’il garde jalousement pour lui seul. Le lendemain est une troisième journée de marche on ne peu plus banale. Le soir, nous arrivons à un plus gros village, le garde rechigne à nous faire entrer mais nous laisse finalement passer après quelques menaces. Il ne doit pas encore connaître Kana Al Barouf. Pendant que mon porteur se repose, Anuldaz s’en va quérir l’herboriste, et lui ôte la vie pour des raisons que seuls Xeos et lui-même connaissent. Ultan, lui, dort dans les écuries avec son Chagar et notre ami la rapière. Au matin, nous nous remettons rapidement en route. Nous sommes rapidement sur une route pavée, il semble que nous entrions de plus en plus en territoire Vorozion. Un croisement nous fera perdre 2h de marche, et ce n’est que le soir que nous arrivons de nouveau à un village. Depuis notre chambre, mon porteur entend des bruits. Pourtant Anuldaz dort. Nous allons voir dehors. Nous voyons un bûcheron l’épaule en sang, entouré de la milice équipée d’arbalètes, qui nous sommes de quitter les lieux. Que nenni. Nous passerons la nuit ici. Au matin, alors que nous sortons de l’auberge, une dizaine d’arbalétriers nous mettent en joue nous ordonnant de partir. Cela tombe bien, nous comptions justement lever le camp. Au sortir du village, nous retrouvons le Piorad, et notre ami nous raconte que son Chagar, mort de faim, a essayé en vain de croquer du bûcheron, mais sa victime ayant crié, il a du partir la faim au ventre.
A mi journée de notre cinquième jour de marche, nous voyons au loin une troupe de 16 cavaliers. Celle-ci se met au galop en nous voyant ralentir, se déploie en V et nous met en joue. 2 des cavaliers s’avancent vers nous et demandent nos laissez-passer. Mon hardi Kana s’avance à pied, et voyant que la diplomatie ne fonctionnera pas, attrape le Vorozion par le bras et tente de le faire tomber. Les carreaux d’arbalète sifflent et font mouche sur le Piorad. J’entre en scène, j’électrifie un des 2 cavaliers nous encerclant, mais ils sont sur leur monture, les toucher n’est pas évident. J’entends la tronçonneuse rugir, quelques corps et tête tomber. Le Piorad s’est fait descendre. Kana et moi coupons des steaks de cheval à tout va. Mais le combat est inégal. La sortie semble passer par la mort de mon porteur actuel. Adieu vaillant Kana, à moi la cavalerie Vorozionne. Kana veut se téléporter pour aller chercher son cheval et être à égal avec les 9 cavaliers restant. Le porteur de Xeos est mal en point. Non, Kana ne partira pas. La téléportation échoue, il reste paralysé, attendant sa mort. Blackout.
Je sens de nouveau. C’est un Vorozion. Un des trois survivants Vorozion. Nous avons nos laissez-passer, c’est bon. A nous Inaccessibility.
Le soir arrive et Anuldaz commence à sentir la faim le tenailler. La nuit se passe sans trop de problème, bien qu’Anuldaz, entre ses crampes d’estomac – sûrement dues aux baies qu’il s’est aventuré à manger – et sa crainte d’être dévoré par le Chagar, ne dormît que d’un œil… Au matin, nous nous remettons en route. Ces humains parlent décidément trop, cela nous ralentis. Nous arrivons en début d’après-midi à un village, dans lequel Kana et moi allons à la chasse aux nouvelles de Mouleh pendant qu’Anuldaz se goinfre à l’auberge. Au moment de payer, pris d’un désir soudain, mon porteur menace l’aubergiste et lui demande la caisse. Mais celle-ci était quasi vide. Il nous faudra recommencer dans une plus grande ville. Nous nous remettons tous en route, Mouleh ayant toujours un jour d’avance. Le soir, nos porteurs montent un campement, et Anuldaz se fait un feu qu’il garde jalousement pour lui seul. Le lendemain est une troisième journée de marche on ne peu plus banale. Le soir, nous arrivons à un plus gros village, le garde rechigne à nous faire entrer mais nous laisse finalement passer après quelques menaces. Il ne doit pas encore connaître Kana Al Barouf. Pendant que mon porteur se repose, Anuldaz s’en va quérir l’herboriste, et lui ôte la vie pour des raisons que seuls Xeos et lui-même connaissent. Ultan, lui, dort dans les écuries avec son Chagar et notre ami la rapière. Au matin, nous nous remettons rapidement en route. Nous sommes rapidement sur une route pavée, il semble que nous entrions de plus en plus en territoire Vorozion. Un croisement nous fera perdre 2h de marche, et ce n’est que le soir que nous arrivons de nouveau à un village. Depuis notre chambre, mon porteur entend des bruits. Pourtant Anuldaz dort. Nous allons voir dehors. Nous voyons un bûcheron l’épaule en sang, entouré de la milice équipée d’arbalètes, qui nous sommes de quitter les lieux. Que nenni. Nous passerons la nuit ici. Au matin, alors que nous sortons de l’auberge, une dizaine d’arbalétriers nous mettent en joue nous ordonnant de partir. Cela tombe bien, nous comptions justement lever le camp. Au sortir du village, nous retrouvons le Piorad, et notre ami nous raconte que son Chagar, mort de faim, a essayé en vain de croquer du bûcheron, mais sa victime ayant crié, il a du partir la faim au ventre.
A mi journée de notre cinquième jour de marche, nous voyons au loin une troupe de 16 cavaliers. Celle-ci se met au galop en nous voyant ralentir, se déploie en V et nous met en joue. 2 des cavaliers s’avancent vers nous et demandent nos laissez-passer. Mon hardi Kana s’avance à pied, et voyant que la diplomatie ne fonctionnera pas, attrape le Vorozion par le bras et tente de le faire tomber. Les carreaux d’arbalète sifflent et font mouche sur le Piorad. J’entre en scène, j’électrifie un des 2 cavaliers nous encerclant, mais ils sont sur leur monture, les toucher n’est pas évident. J’entends la tronçonneuse rugir, quelques corps et tête tomber. Le Piorad s’est fait descendre. Kana et moi coupons des steaks de cheval à tout va. Mais le combat est inégal. La sortie semble passer par la mort de mon porteur actuel. Adieu vaillant Kana, à moi la cavalerie Vorozionne. Kana veut se téléporter pour aller chercher son cheval et être à égal avec les 9 cavaliers restant. Le porteur de Xeos est mal en point. Non, Kana ne partira pas. La téléportation échoue, il reste paralysé, attendant sa mort. Blackout.
Je sens de nouveau. C’est un Vorozion. Un des trois survivants Vorozion. Nous avons nos laissez-passer, c’est bon. A nous Inaccessibility.
Romeo- Messages : 162
Date d'inscription : 08/03/2010
Age : 41
Localisation : Ho Chi Minh ville
Re: 2ème partie : On the road again
"Porteurs d'armes-dieux, ok, mais il n'y a que les armes qui soient immortelles. Beaucoup de nouveaux porteurs succombent a l'ivresse de leur nouveaux pouvoirs et se jettent aveuglement dans des combats bien au dela de leurs capacites. Les armes-dieux doivent apprendre a eduquer leurs porteurs afin de ne pas en changer quotidiennement parfois (voir meme plusieurs fois par jour pour certaines)."
Sagesse a deux cestes de maitre Gaius, porteur et capitaine de la troupe de mercenaires des Loups Noirs, juste avant de se faire eventrer a coup de couteau de cuisine par une serveuse d'une auberge de seconde zone. Il avait trop bu, croyait aux caresses de la bougresse, qui une fois en possession de l'arme-dieu devint la nouvelle chef des Loups Noirs.
Bref, si on laisse tomber ce cher Gaius, fallait que tot ou tard vous testiez votre puissance. Et ca vous a permis d'un peu vous familiariser avec les combats
Merci pour le resume
Sagesse a deux cestes de maitre Gaius, porteur et capitaine de la troupe de mercenaires des Loups Noirs, juste avant de se faire eventrer a coup de couteau de cuisine par une serveuse d'une auberge de seconde zone. Il avait trop bu, croyait aux caresses de la bougresse, qui une fois en possession de l'arme-dieu devint la nouvelle chef des Loups Noirs.
Bref, si on laisse tomber ce cher Gaius, fallait que tot ou tard vous testiez votre puissance. Et ca vous a permis d'un peu vous familiariser avec les combats
Merci pour le resume
Gaetan- MJ
- Messages : 249
Date d'inscription : 04/09/2009
Age : 50
Localisation : Ho chi Minh, Dist 1 (Co Bac str)
3 deserteurs vorozions on the road...
Apres avoir neutralise les 3 espions envoyes par les Derigions (un Piorad et deux Batranobans), la patrouille les ont proprement executes. Le chef de la patrouille etant mort, les survivants ont determine par un complexe melange d'anciennete et de force qui etait le chef suppleant, et surtout qui prendrait les armes. Ces nouveaux leaders ont pris leur premiere decision importante: tuer le chagar ! On ne peut pas laisser un tel monstre en liberte dans les campagnes vorozionnes. Le reste de la patrouille encaissa d'autres pertes face au chagar sauvage. Et les derniers survivants furent massacres par les 3 nouveaux porteurs qui ne voulaient pas de temoins genants. En effet, afin de pouvoir aider leurs nouvelles armes, ils doivent deserter, car leur obligations militaires ne les laisseraient pas partir a l'aventure... Surtout avec le massacre de toute leur patrouille, dont comme par hasard ils sont les 3 seuls survivants et ont tous les 3 des armes-dieux... Dur dur a expliquer...
Gaetan- MJ
- Messages : 249
Date d'inscription : 04/09/2009
Age : 50
Localisation : Ho chi Minh, Dist 1 (Co Bac str)
Re: 2ème partie : On the road again
Toute la finesse de Bloodlust en quelques lignes...
Romeo- Messages : 162
Date d'inscription : 08/03/2010
Age : 41
Localisation : Ho Chi Minh ville
Re: 2ème partie : On the road again
C'est un monde plein de finesse: les tortures batranobanes, les orgies derigionnes, la diplomatie piorad...
Gaetan- MJ
- Messages : 249
Date d'inscription : 04/09/2009
Age : 50
Localisation : Ho chi Minh, Dist 1 (Co Bac str)
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